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Yann Yann @gayfr.social

Gentil ronchon introverti dans la fin de la quarantaine.

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Comments 27

Mon kif du jour n’était pas sur ma liste (car oui, j’avais une liste de 34 sujets) mais ce n’était pas prévu non plus…

Mon kif du jour n’était pas sur ma liste (car oui, j’avais une liste de 34 sujets) mais ce n’était pas prévu non plus… J’aime voter. J’ai la chance de vivre dans un pays où c’est possible même s’il faut parfois (souvent ?) voter contre au lieu de voter pour. N’empêche que ce droit je le considère aussi comme un devoir et je vais toujours voter quoi qu’il arrive (je crois que je me suis abstenu une seule fois, parce que je travaillais loin de mon bureau de vote) et aujourd’hui plus que jamais voter est capital. Dans l’espoir d’éviter le pire.

\#1jour1kif @1jour1kif

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C’est clairement mon élément, celui qui m’attire, vers lequel je reviens toujours. L’eau, sous toutes ses formes, même la pluie, est sans aucun doute le kif de ma vie.

C’est clairement mon élément, celui qui m’attire, vers lequel je reviens toujours. L’eau, sous toutes ses formes, même la pluie, est sans aucun doute le kif de ma vie.

\#1jour1kif @1jour1kif

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Ce n’est absolument pas une transmission familiale, ça m’est venu comme ça, mais cuisiner reste un vrai kif, comme aujourd’hui (cake au fromage pour l’apéro de ce soir).
  • @Isocat En effet, ce n’est pas un cheesecake mais un gâteau salé (on utilise cake en français pour les gâteaux salés et certains gâteaux sucrés, à la condition d’utiliser un moule rectangulaire, que l’on appelle « moule à cake »…)

    La recette :
    3 œufs
    100 g de farine
    10 dl de lait
    3 cuillères à soupe d’huile
    1 sachet de levure
    Sel et poivre

    Mélanger les ingrédients et ajouter ensuite ce qu’on veut : du jambon, du fromage, des olives, des noisettes, de la courgette…
    Ici j’ai mis de l’emmental râpé et du parmesan.
    Cuisson à 180°C pendant 45 minutes.

    @1jour1kif

  • Ce n’est absolument pas une transmission familiale, ça m’est venu comme ça, mais cuisiner reste un vrai kif, comme aujourd’hui (cake au fromage pour l’apéro de ce soir).

    Ce n’est absolument pas une transmission familiale, ça m’est venu comme ça, mais cuisiner reste un vrai kif, comme aujourd’hui (cake au fromage pour l’apéro de ce soir). Du plus simple au compliqué, je ne m’interdis rien, mais je tâche de rester dans la limite de mes capacités (et de mes goûts).

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C’est mon péché-mignon, celui que je m’octroie dans certains moments. Et même s’il me paraît moins bon, moins fort en goût qu’avant, et que la tablette a perdu en poids (vous avez dit shrinkflation ?)

    C’est mon péché-mignon, celui que je m’octroie dans certains moments. Et même s’il me paraît moins bon, moins fort en goût qu’avant, et que la tablette a perdu en poids (vous avez dit shrinkflation ?) ça reste un kif, un vrai !

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C’est non seulement quelque chose que j’aime tout particulièrement mais c’est surtout quelque chose dont j’ai besoin et ça ne semble pas s’améliorer avec l’âge.

    C’est non seulement quelque chose que j’aime tout particulièrement mais c’est surtout quelque chose dont j’ai besoin et ça ne semble pas s’améliorer avec l’âge. Je ne suis jamais plus heureux que lorsque je suis seul. Être en tête à tête avec moi, n’avoir rien d’autre à penser que moi, ne me soucier de personne et d’aucun horaire, ne m’infliger aucune contrainte est d’autant plus un kif que c’est rare. Dans le meilleur des cas, ce n’est qu’une poignée d’heures de temps à autre. Mon rêve secret ? Pouvoir partir en solitaire toute une semaine. Sans voir personne. Sans avoir besoin de parler plus que nécessaire…

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C’est mon petit plaisir mensuel, aller chez le barbier💈.

    C’est mon petit plaisir mensuel, aller chez le barbier💈. Je vais au même endroit depuis 10 ans, même si ce n’est pas toujours le même gars qui opère.

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    J’ai acheté mon tout premier appareil photo à l’âge de 10 ans. C’était un petit truc compact dont je ne suis pas sûr d’avoir conservé les photos faites avec.

    J’ai acheté mon tout premier appareil photo à l’âge de 10 ans. C’était un petit truc compact dont je ne suis pas sûr d’avoir conservé les photos faites avec. Après avoir tenté le Reflex, argentique puis numérique, j’ai opté il y a quelques années pour un Bridge qui m’accompagne dans tous mes voyages, malgré la concurrence sérieuse du smartphone. J’aime particulièrement celui-ci pour la puissance de son zoom qui me permet de capter certains détails qui ne seraient pas visibles autrement (voir photos ci-dessous).

    Je n’ai pas la prétention d’être ne serait-ce qu’un photographe amateur mais j’adore faire des photos et de plus en plus je les fais pour moi et seulement moi. Je me retrouve avec des milliers d’images à trier dont j’espère pouvoir faire des livres photos un jour… mais quand ?

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Ce n’est pas de saison (quoi que…) mais la neige est quelque chose que j’adore, sous toutes ses formes.

    Ce n’est pas de saison (quoi que…) mais la neige est quelque chose que j’adore, sous toutes ses formes.

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Au collège, puis au lycée et encore après, les cours de langue étaient mes moments préférés. Comme la plupart, j’ai commencé par l’anglais, puis j’ai choisi l’allemand. Pas par conviction particulière

    Au collège, puis au lycée et encore après, les cours de langue étaient mes moments préférés. Comme la plupart, j’ai commencé par l’anglais, puis j’ai choisi l’allemand. Pas par conviction particulière mais parce que le lycée où je devais aller ensuite ne proposait pas l’espagnol et que je ne voulais pas prendre le risque de changer d’établissement (j’habitais juste à côté). Arrivé au lycée, j’ai choisi l’italien en 3e langue. C’était la seule langue possible à ce niveau mais ça m’allait bien. C’est la seule langue étrangère que ma mère a apprise alors ça nous rapprochait un peu…

    Dans mes études supérieures, j’ai abandonné définitivement l’allemand au profit de l’italien. Pas par facilité (l’italien est aussi retors que le français) mais plus par goût. Et encore aujourd’hui, même si ça me paraît toujours un peu pâteux en bouche, j’adore parler cette langue.

    Plus récemment, je me suis mis à l’espagnol (que je comprends globalement mais que je ne sais guère parler), le norvégien et le grec moderne (qui est un vrai challenge en apprentissage autonome !). Je manque de temps pour en apprendre d’autres mais mon rêve secret est d’en maîtriser plein ! Et en ce sens, c’est l’une des vraies richesses culturelles de l’Europe que d’être une union plurilingue ! 🇪🇺

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C’est un plaisir que je m’octroie au restaurant et j’ai de la chance puisque cela fait partie des desserts traditionnels proposés dans la plupart des brasseries. Bien sûr ils faut qu’elles soient

    C’est un plaisir que je m’octroie au restaurant et j’ai de la chance puisque cela fait partie des desserts traditionnels proposés dans la plupart des brasseries. Bien sûr ils faut qu’elles soient maison (ce qui n’est pas toujours le cas) et lorsqu’elles le sont, ça se voit ! Avec le temps, c’est devenu mon dessert préféré et s’il y en a à la carte, je les commande forcément.

    Il y a plusieurs années de ça, j’ai pu goûter la version stambouliote (la ville du Bosphore prétend l’avoir inventée) mais je n’ai pas DU TOUT été convaincu !

    Mon kiff du jour, ce sont les profiteroles !

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Comme un poisson dans l’eau pourrait être ma devise tellement c’est une évidence pour moi : chaque fois que cela est possible, je nage. Sans grâce ni style, j’adore nager, aussi bien dans la mer qu’en

    Comme un poisson dans l’eau pourrait être ma devise tellement c’est une évidence pour moi : chaque fois que cela est possible, je nage. Sans grâce ni style, j’adore nager, aussi bien dans la mer qu’en piscine. Mon vrai regret est de ne pas pouvoir nager plus souvent et mon rêve serait d’habiter en bord de mer pour pouvoir nager toute l’année. Oui j’ai bien dit toute l’année ! Depuis que je me suis baigné dans le fjord de Trondheim, les eaux fraîches ne me font plus peur.

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Jour 20 du défi #1jour1kif : chaque jour, publier quelque chose que l'on aime ❤️
  • @barbapulpe Ah mais nan ! Je tire les cartes moi aussi !
    Par contre j’ignorais qu’on pouvait jouer avec…
    @1jour1kif

  • C'est un vrai kif de tous les instants, à chaque fois que c'est possible, être pieds nus. Peu importe la saison, le lieu, le moment, dès que je le peux, je me débarrasse de tout ce qui me pèse à ces

    C'est un vrai kif de tous les instants, à chaque fois que c'est possible, être pieds nus. Peu importe la saison, le lieu, le moment, dès que je le peux, je me débarrasse de tout ce qui me pèse à ces extrémités-là. C'est un réflexe dès que je rentre chez moi ou chez des amis. Et devoir porter des chaussures toute la journée lorsqu'il fait chaud s'apparente à une véritable torture (au point qu'il m'arrive de les enlever discrètement au bureau).

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours aimé ça. Longtemps ça a été mon seul moyen de locomotion mais je ne l’ai pas abandonné pour autant lorsque j’ai eu mon permis de conduire.

    D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours aimé ça. Longtemps ça a été mon seul moyen de locomotion mais je ne l’ai pas abandonné pour autant lorsque j’ai eu mon permis de conduire. Marcher est le meilleur moyen d’aller d’un point À à un point B. C’est le plus écologique de tous et ça permet aussi de se vider l’esprit ou, au contraire, d’enclencher une réflexion profonde. C’est en marchant que j’ai solutionné nombre de mes interrogations ou problèmes et ça reste de loin mon mode de déplacement préféré. Même sous la pluie !

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C'est un point commun que je partage avec ma mère et c'est d'ailleurs assez drôle de nous voir œuvrer de conserve à décortiquer tout ce qui passe à portée de main, particulièrement au moment de Noël.

    C'est un point commun que je partage avec ma mère et c'est d'ailleurs assez drôle de nous voir œuvrer de conserve à décortiquer tout ce qui passe à portée de main, particulièrement au moment de Noël. S'il y a bien une chose à laquelle je résiste difficilement, ce sont bien les fruits secs ! Et si je devais donner le quinté gagnant j'aurais du mal à les départager, même si la pistache et la noisette seraient forcément en tête (dans cet ordre), talonnées de près par l'amande, la cacahuète et la noix. Alors autant te dire que lorsque vient le moment de choisir un dessert ou une pâtisserie, je ne tergiverse pas longtemps si la pistache est au menu !

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Jour 17 du défi #1jour1kif : chaque jour, publier quelque chose que l'on aime ❤️
  • @barbapulpe Je vois que nous avons 2 albums en commun (a-ha et Genesis) @1jour1kif

  • Un kif qui se révèle à chaque fois que je croise un rosier en fleur : respirer le parfum des roses. C’est purement instinctif, animal, ça ne s’explique pas…

    Un kif qui se révèle à chaque fois que je croise un rosier en fleur : respirer le parfum des roses. C’est purement instinctif, animal, ça ne s’explique pas…

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Le virus m’a pris récemment lorsque j’ai eu subitement envie d’offrir à chacun de mes parents leur arbre généalogique.
  • @barbapulpe Absolument ! Ça s’est fait un peu plus tôt mais c’est motivé par les mêmes raisons @1jour1kif

  • Le virus m’a pris récemment lorsque j’ai eu subitement envie d’offrir à chacun de mes parents leur arbre généalogique.
  • @barbapulpe en fait, beaucoup de gens de ce coin-là sont partis tenter leur chance aux États Unis, surtout en Californie, fin 19e/début 20e. Certains sont revenus, d’autres ont fait leur vie là-bas. J’y ai encore des cousins éloignés. @1jour1kif

  • Le virus m’a pris récemment lorsque j’ai eu subitement envie d’offrir à chacun de mes parents leur arbre généalogique.

    Le virus m’a pris récemment lorsque j’ai eu subitement envie d’offrir à chacun de mes parents leur arbre généalogique. Je me suis toujours intéressé à l’histoire familiale, mais les choses étaient déséquilibrées : du côté paternel, les informations étaient pauvres là où, côté maternel on n’en manquait pas. Heureusement, internet permet de fouiller les registres des archives de fond en comble (ou presque) sans avoir à partir à l’autre bout de la France. Et les sites de généalogie permettent de piocher des infos manquantes dans les arbres des autres chercheurs, ce qui fait gagner un temps précieux (ou met sur une fausse piste…).

    Et c’est ainsi, par exemple, que j’ai découvert, à la surprise générale puisque personne ne le savait, que 2 de mes arrières-arrières grands-parents, né dans le même village des Hautes-Alpes, se sont mariés à… San Francisco en 1874 (et sont vraisemblablement rentrés dans leur village peu de temps après).

    Bref, la #genealogie c’est un vrai kif.

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C'est le métier pour lequel j'ai été formé et pour lequel je suis titulaire de trois cartes professionnelles (petite fierté personnelle) qui ont, depuis, été fusionnées en une seule.

    C'est le métier pour lequel j'ai été formé et pour lequel je suis titulaire de trois cartes professionnelles (petite fierté personnelle) qui ont, depuis, été fusionnées en une seule.

    C'est pour faire ce métier que je suis venu poursuivre mes études à Lyon, où je suis finalement resté.

    À l'issue de mes études, j'ai dû faire mon service national (je suis de la dernière génération), ce qui ne m'a pas permis de me lancer tout de suite. Plus tard, ayant décroché un premier emploi, j'ai pris goût au salaire régulier et la sécurité de l'emploi l'a emporté sur la précarité du métier de guide.

    Prendre en charge un groupe, lui faire découvrir un quartier, lui transmettre des informations pertinentes, amusantes, sans l'inonder de détails en espérant qu'il en gardera quelque chose, au moins le souvenir d'avoir passé un bon moment... c'est ça, le métier de guide et c'est ce que j'ai toujours aimé faire, même si ce n'est pas toujours évident.

    Et justement, c'est parce que j'ai toujours eu un emploi principal que j'ai pu me lancer dans les visites, à mon rythme, comme je l'entendais, avec la liberté de ne pas accepter une prestation parce qu'elle n'est pas vitale pour finir le mois.

    Il y a quelques années, j'ai arrêté, las du métier et surtout des confrères (majoritairement des consœurs à vrai dire) souvent prêt à mettre des bâtons dans les roues à ce qu'ils voient comme une concurrence.

    L'année dernière, répondant à la demande d'un pote de pote, je me suis remis en selle. Ai révisé vite faits mes connaissances. Ai ressenti ce trac si particulier que ce métier partage, dans une moindre mesure, avec ceux qui montent sur une scène. Et tout est revenu. Instantanément. Cela faisait 8 ans que je n'avais pas fait de visite et pourtant, tout était limpide, tout m'est revenu d'un coup, j'ai même pu ajouter des anecdotes au fil de l'eau parce qu'on ne cesse jamais d'apprendre et la visite initialement prévue pour durer 2 heures en a duré 3...

    À la fin, épuisé, sans voix, la seule chose qui m'est venue alors à l'esprit fut "putain, qu'est-ce que je peux kiffer ça !".

    [Rare photo de moi en pleine visite, nous sommes en 1999, j'ai alors 23 ans et c'est la veille de l'oral de mon diplôme]

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    C’est un kif un peu particulier, quelque chose que je ne sais pas expliquer mais j’ai une certaine fascination pour… les mouettes. Enfin, les goélands plutôt, même si, sur le plan biologique, le

    C’est un kif un peu particulier, quelque chose que je ne sais pas expliquer mais j’ai une certaine fascination pour… les mouettes. Enfin, les goélands plutôt, même si, sur le plan biologique, le goéland est juste une grosse mouette [https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Goéland]

    Quelque chose dans le regard, l’attitude, le (supposé) sale caractère m’attire sans doute et ils sont le sujet d’une quantité phénoménale de photos prises un peu partout en Europe.

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    Petit, ce fut une passion qui a commencé sans doute très tôt sans que je me souvienne précisément quand. Il faut dire que c'est un sujet qui intéressait ma grand-mère (avec qui je passais beaucoup de

    Petit, ce fut une passion qui a commencé sans doute très tôt sans que je me souvienne précisément quand. Il faut dire que c'est un sujet qui intéressait ma grand-mère (avec qui je passais beaucoup de temps alors) alors forcément, c'était encourageant. Mes parents l'ayant compris, j'ai assez vite reçu nombre de livres qui me permettaient d'assouvir mon goût pour cette discipline. C'est ainsi que je suis arrivé au collège avec déjà plein de connaissances en la matière et des travaux que j'avais réalisés moi-même (comme reconstituer l'arbre généalogique des rois de France en partant de ceux que je connaissais... je devais avoir 10 ans, je m'en souviens comme si c'était hier, et encore aujourd'hui je suis capable de les réciter de tête et dans l'ordre à partir de Charles VII) et je me souviens d'avoir globalement adoré les cours d'histoire. À la maison, j'avais dans ma chambre les 12 volumes d'Histoire de la France et des Français d'André Castelot et Alain Decaux que je parcourais incessament avec envie et curiosité. C'est donc tout naturellement que j'ai choisi l'histoire pour mes premières études mais je n'étais pas prêt pour l'enseignement universitaire et j'ai dû changer d'option au bout de deux échecs. Néanmoins, j'ai gardé l'histoire en ligne de vie en choisissant de devenir guide-conférencier. Et même si ce n'est pas le métier que j'exerce aujourd'hui, j'ai la chance d'avoir épousé quelqu'un qui est tout aussi féru d'histoire que moi mais dont l'intérêt porte sur des périodes différentes de celles qui ont ma préférence (Antiquité -égyptienne, grecque, gallo-romaine-, Moyen-Âge et XIXe) et ce qui fait de nous un binôme redoutable au Trivial Pursuit. Encore aujourd'hui, je n'adore rien moins que d'apprendre de nouveaux faits, revenir sur des connaissances, les enrichir, les polir, les mettre à jour au gré des découvertes et des travaux des spécialistes. Bien sûr, je regarde la plupart des émissions et des documentaires historiques à deux conditions : que le propos soit fiable (ce qui n'est pas toujours le cas) et que le sujet m'intéresse.

    Exceptionnellement, pas d'illustration aujourd'hui, c'est trop difficile d'en choisir une !

    \#1jour1kif @1jour1kif

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    J’ai toujours adoré les chiens, même si je n’en ai pas eus quand j’étais enfant. Lorsque la décision d’adopter a été prise, j’étais loin d’imaginer que je tomberais autant en amour avec ces

    J’ai toujours adoré les chiens, même si je n’en ai pas eus quand j’étais enfant. Lorsque la décision d’adopter a été prise, j’étais loin d’imaginer que je tomberais autant en amour avec ces quadrupèdes facétieux, drôles, intelligents et tellement aimants. Impossible pour moi d’imaginer ma vie sans eux (quand bien même je sais qu’ils ne sont pas éternels). Aujourd’hui j’ai la chance de vivre avec Gunther le bouledogue français et Lucien le beagle et je ne changerais pour rien au monde.

    \#1jour1kif \#mastodogs #dogsofmastodon @1jour1kif

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