Skip Navigation
Solarpunk francophone @jlai.lu Penguin_Rocket @lemmy.ml

[Mème] Le générique de Code Lyoko fait un peu solarpunk quand on y pense

Bonjour à tous,

En réécoutant le générique de Code Lyoko, ce classique des jeunes de ma génération (nés autour des années 2000), je me suis dit que ça pouvait limite être l'hymne de l'action contre le changement climatique.

Voyez-vous mêmes :

On ira, on saura, sauver notre existence

Se donner, une chance, de tout effacer

On ira, on saura, sauver notre existence

Pour refaire, un monde sans danger

Code Lyoko tout reprogrammer

Code Lyoko un monde sans danger

Code Lyoko tout reprogrammer

Code Lyoko un monde sans danger

Un monde sans danger, Julien Lamassonne

Lien vers la chanson : https://www.youtube.com/watch?v=fJIKatjB00U

Qu'en pensez-vous ?

5
5 comments
  • Un monde sans dangeeeeer

  • Oui, après, ça marche aussi comme hymne des zemmouriens 🤢

    N'empêche que Code Lyoko, c'était rudement bien, mis à part la structure scénaristique qui était parfois un peu trop copié-collé d'un épisode à l'autre : incident dans le monde virtuel, intervention, résolution à la fin des 20 minutes, et si resolution tôt dans l'épisode, on est certain qu'Ulrich va dire : "C'est trop facile" avant que le piège soit révélé. Bref, j'aurais bien aimé que l'histoire principale, celle qui s'étend que l'ensemble de la série, ait eu plus de place pour se développer.

    • Bref, j’aurais bien aimé que l’histoire principale, celle qui s’étend que l’ensemble de la série, ait eu plus de place pour se développer.

      Clairement

    • Oui, après, ça marche aussi comme hymne des zemmouriens 🤢

      Merde, je m’étais jamais dit ça 😅

      Bref, j’aurais bien aimé que l’histoire principale, celle qui s’étend que l’ensemble de la série, ait eu plus de place pour se développer.

      J’ai bien aimé la série étant plus jeune (des jeunes qui se baladent dans un monde virtuel, il m’en fallait pas beaucoup plus pour aimer), mais je suis d’accord avec ce point. C’est vrai que les épisodes avaient constamment le même cycle, ce qui était dommage.