L’opportunisme de grandes entreprises a largement participé à la hausse des prix. Et pourrait même retarder la baisse de l’inflation.
On connait la principale cause de l’inflation depuis deux ans. Ce n’est ni la guerre en Ukraine, ni le dérèglement climatique, ni la crise énergétique. Le très sérieux Fonds monétaire international le révèle dans une étude parue cet été : « la hausse des bénéfices des entreprises représente près de la moitié de l’augmentation des prix en Europe au cours des deux dernières années ».
N'importe quoi. Les responsables de l'inflation pointent du doigt qqn d'autre, et vous tombez dans le panneau. Le FMI est le premier défenseur du système inflationnaire, il est l'ennemi du peuple. L'inflation c'est littéralement le gonflement de la masse monétaire. La planche à billets pour certains. Celle ci est contrôlée par l'etat, qui l'utilise pour financer la guerre sans lever de nouveaux impôts impopulaires, et aussi par les banques, à l'aide de création monétaire ex nihilo, qui est à l'œuvre pour tout crédit. Lisez l'article, toutes les implications logiques qu'ils présentent sont fallacieuses, et fausses.
Tu as des sources sur cette théorie ? Car même si ça participe à l'inflation, comme toujours, 60 millions de consommateur ennemi du peuple au service du FMI ça mérite quelques explications.
C'est de l'économie très générale, mais je te conseille les raisonnements de l'école autrichienne pour parvenir à de telles conclusions. 60 millions de consommateur, c'est juste qu'ils n'ont rien compris. Ils ne devraient pas faire confiance aux Etats ou au FMI (aka les Etats)
Ca, c'est la cause de l'inflation organique. On augmente le volume monétaire donc les prix suivent.
Ce qui est souligné ici, c'est que outre cette source d'inflation, on en a une nouvelle qui est liée aux multinationales qui n'ont plus aucun contre pouvoir et s'en mettent plein les fouilles au passage. Elles prennent le contexte qui est déjà inflationniste (à cause entre autre des raisons que tu cites) et s'en servent pour y cacher une augmentation irréaliste de leur marge de bénef.