Au collège, puis au lycée et encore après, les cours de langue étaient mes moments préférés. Comme la plupart, j’ai commencé par l’anglais, puis j’ai choisi l’allemand. Pas par conviction particulière
Au collège, puis au lycée et encore après, les cours de langue étaient mes moments préférés. Comme la plupart, j’ai commencé par l’anglais, puis j’ai choisi l’allemand. Pas par conviction particulière mais parce que le lycée où je devais aller ensuite ne proposait pas l’espagnol et que je ne voulais pas prendre le risque de changer d’établissement (j’habitais juste à côté). Arrivé au lycée, j’ai choisi l’italien en 3e langue. C’était la seule langue possible à ce niveau mais ça m’allait bien. C’est la seule langue étrangère que ma mère a apprise alors ça nous rapprochait un peu…
Dans mes études supérieures, j’ai abandonné définitivement l’allemand au profit de l’italien. Pas par facilité (l’italien est aussi retors que le français) mais plus par goût. Et encore aujourd’hui, même si ça me paraît toujours un peu pâteux en bouche, j’adore parler cette langue.
Plus récemment, je me suis mis à l’espagnol (que je comprends globalement mais que je ne sais guère parler), le norvégien et le grec moderne (qui est un vrai challenge en apprentissage autonome !). Je manque de temps pour en apprendre d’autres mais mon rêve secret est d’en maîtriser plein !
Et en ce sens, c’est l’une des vraies richesses culturelles de l’Europe que d’être une union plurilingue ! 🇪🇺
@Yann@1jour1kif J’ai fini par apprendre l’allemand à l’institut Goethe parce qu’on ne le proposait presque pas à l’enseignement officiel. Et à la fac j’ai fait un an de russe parce que c’était la seule en 3e langue ou il y avait encore place — on devait faire un an de 3e langue pour finir mais l’espagnol et l’italien étaient déjà complètement pris.