L'écriture inclusive laisse plus de place aux représentations féminines, affirment les scientifiques. L'usage du point médian notamment permet de diminuer significativement le biais en faveur du genre masculin.
qu'on commence déjà par simplifier le français. Les doubles consonnes finissent toujours par m'avoir surtout la confusion avec l'anglais ou l'allemand. Sans parler des accords avec le participe-passé.
Exception: Fait reste toujours invariable quand il est suivi d'un infinitif.
Ex.: La chanson que j'ai entendu chanter était mélodieuse. (J'ai entendu quoi? La chanson. Est-ce qu'une chanson peut chanter? Non. Donc «entendu» est invariable.)
Ex.:Les garçons que j'ai entendus chanter étaient très jeunes. (J'ai entendu qui? Les garçons. Est-ce que les garçons peuvent chanter? Oui. Donc «entendus» s'accorde avec «garçons».)
Les participes passés couru , coûté , pesé , valu , vécu restent invariables quand ils sont employés au sens propre. Au sens figuré, ils s'accordent.
Ex.: Les douze dollars que m'a coûté ce livre furent bien employés. (Ce livre m'a coûté combien? Douze dollars. «Dollars» n'est pas un c. o. d. De plus, «coûté» est employé au sens propre, donc il reste invariable.)
Ex.: Les efforts que m'a coûtés ce travail ont porté fruit. (Ce travail m'a coûté quoi? Des efforts. «Coûtés» s'accorde avec son c. o. d. «efforts».)
Généralement, il demeure invariable si «en» est c. o. d. On considère alors que le «en» est un pronom neutre.
Ex.: Des pommes, j'en ai mangé . (J'ai mangé quoi? «En» mis pour «pommes». Donc, «mangé» est invariable.)
Ex.: Voilà mon jardin et voici les légumes que j'en ai tirés . (J'ai tiré quoi? Des légumes. D'où? De «en» mis pour «jardin». Donc, ici le «en» n'est pas c. o. d. et «tirés» s'accorde avec son c. o. d. «légumes».)
Et autres joyeusetés, c'est bon. Invariable, et c'est marre.