La direction de France Travail avait été alertée par ses services informatiques qu'une faiblesse dans la sécurité pourrait être exploitée en cas d'attaque. Or c’est exactement ce qui s’est passé en mars 2024, lorsque 43 millions d’usagers ont vu leurs données piratées.
En attendant on attends toujours que pole-emploi veuille bien au moins faire semblant d'en avoir quelque chose à foutre de nous ne serais-ce qu'en nous informant que nos données sont (une nouvelle fois) dans la nature plutot que seulement apprendre ça par les medias.